A suivre...
A suivre...
Réunion du lundi matin. Tout le monde se demande ou se trouve Mr Porrald. Mr Pif a bien travaillé: 1000 luges produites. Mais pas de luge vendue. Mr Clamef se propose d'animer une promotion au Mamouth de Soisy. L'idée est acceptée. Mr Lefloch nous fait part de ses statistiques: Mr Lagnez a consommé 25 grammes d'Afghan cette semaine, soit 1,5 grammes de plus que la semaine dernière. D'après Mr Lefloch, cette légère hausse provient d'éléments externes tels que le froid et le risque de neige qui fait pousser Mr Lagnez à la consommation.
Mr Kart Porrald a trouvé un emprunt bancaire de 20 000 euros à un taux de 06%. L'emprunt est consenti pas la "Banque K'YZZ". Mr Porrald se rend à cette banque. Malheureusement, il trébuche sur la marche du péron, et se fracasse le front sur la porte d'entrée.
Le banquier, croyant à une attaque appelle la police. Mr Porrald se réveille dans une cellule de Fleury-Mérogis.
Me Dave Clamef a commencé sa prospection. Il fait du porte à porte dans les HLM de Garges-lès-Gonesses, luge à la main. Malgré sa volonté, et malgré qu'il ne cesse de répéter que ces luges sont fabriquées par MAXI-SCHIBOFF, pas une luge n'est vendue.
Mr Schiboff rappelle à Mr Lefloch le rôle de son service: il est de faire ressortir les évaluations de la consommation de l'entreprise. Mr Lefloch affirme que l'entreprise a bel et bien consommé deux salarié. Mr Schiboff souligne qu'elle pourrait bientôt en consommer un troisième.
Premières statistiques de Mr Lefloch: deux salariés ont été mis dehors.
Au matin, Mr Schiboff a la surprise de voir Mr Jams dans l'entreprise.
C'est Mr Lagnez qui l'a embauché: "C'est un bon copain et il s'y connait, tu verras".
Mr Duguy et Melle Simith sont mis dehors.
Mr Lagnez est nommé directeur de recrutement. Son premier travail consiste à embaucher un analyste économique.
Me Lagnez n'a pas bien compris sont rôle. Mr Schiboff non plus. L'affaire est alors portée devant Melle Simith, qui a pour rôle d'étudier le profil de Mr Lagnez afin de lui confier des tâches à grandes responsabilités.
L'examen est long et attentif. Mr Duguy Philip, connaisseur en management vient leur prêter mais-forte.
Finallement, d'après les dires de Mr Duguy et de Melle Simith, la tendance actuelle est à la paupérisation des études cycliques répétées à long terme, et de ce fait, l'investissemnt incorporel apporté par Mr Lagnez doit être apporté à sa juste valeur.
Début de l'exploitation.
Les associés sont:
- Mr Schiboff: PDG
- Mr Piezzy: Directeur Comptable
- Mr Porrald: Directeur Financier
- Mr Lagnez: Directeur
- Mr Lefloch: Statisticien
- Mr Pif: Producteur de luge
- Mr Clamef: Prospecteur
- Mr Kaikoon: Essayeur de luge
- Melle Simith: Analyseuse économique
- Me Duguy: Etude du Management
- Melle Sandrine Dufoun: Hôtesse d'accueil
Le créateur-fondateur-administrateur-président-directeur-général du feu "MAXI-CLAIRONS", Mr Vincenzo Schiboff commence à en avoir assez de voir ses firmes partir en fumée. Il consulte alors Barnabé Touron, Psychâtre d'entreprise.
La solution trouvé est simple: il faut exclure du groupe Mr Cricognème, qui est une source d'ennui.
Le 1er septembre 2005, les associés sont convoqués dans les bureaux remis en état de MAXI-CLAIRONS.
L'objet social est le suivant: fabrique de skis style 1930. D'après Mr Kaikoon, expert en la matière, les traditions se perdent et il faut renouer avec le passé. Mr Lagnez proteste: il estime que des skis style année 2050 seraient beaucoup mieux à vendre. Mais Mr Kart Porrald lui rappelle qu'on est en 2005, et qu'on ne connait donc pas encore les skis de l'an 2050.
Mr Lefloch est de l'avis de Mr Lagnez: jamais on ne pourra vendre de skis style 1930, et cette société va faire un bide comme les précédentes.
Alors Mr Dave Clamef se lève et entonne les premières notes d'un chant philosophique de sa composition, qui parle vaguement de sapins.
Pour faire diversion, Mr Schiboff parvient rapidement à un compromis: "Nous produirons des luges style 1965".
La décision est approuvée à l'unanimité.